Choix des thèmes sexo |
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Intéret des articles sexo |
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Illustrations des articles sexo |
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Interêt général du magazine |
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Rapport qualité/prix |
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Note Générale |
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Les plus : Le choix des thèmes "sexe" abordé est, en apparence, un peu plus libéré qu'en France
les moins : Ensemble assez moralisateur cependant, quantité de publicités considérable, très cher
En apparence, le Glamour américain est un peu plus proche du Cosmo américain que du Glamour français; on n'hésite pas à s'aventurer davantage dans la chambre à coucher et à aborder des questions plus dérangeantes. Mais ce n'est que de surface. La réalité est assez vite moralisatrice. Les articles sont souvent courts, peu documentés, et donneurs de leçons, présentant une sorte de sexualité modèle à laquelle la femme glamour doit parvenir.
Toujours donc le fameux thème des Dos and Don'ts, qui reste le fin mot de ce magazine en tout domaine, y compris dans notre lit!
La santé est aussi un lieu où l'on donne des conseils, à faire, à ne pas faire, et les témoignages sont là pour nous rappeler à la fois le courage des femmes, mais aussi les erreurs qu'elles ont faites. La question du cancer, et du vivre avec un cancer, est centrale à ce journal, comme au reste dans le Cosmo américain, bien plus sans doute que ne l'est le SIDA, ou d'autres maladies qui touchent particulièrement notre époque. Comme dans le Glamour anglais, l'automédication est présente à chaque page du magazine, essentiellement sous la forme de publicité.
Celle-ci est omniprésente: le Glamour américain bat tous les records (jusqu'à présent!! Peut-être Arétina va-t-elle le détrôner grâce au Glamour roumain? Les jeux sont faits!). 29 pages de publicité sur le numéro de septembre 2007 avant de parvenir au sommaire. 281 pages de publicités explicites sur 420 pages, soit plus de la moitié du magazine!!! Par contre, on nous épargne les petites annonces de chiromancie, cartomancie, astrologie, chirurgie esthétique, speed dating, et autres inventions jugées plaisantes à la femme moderne.
Enfin, les rubriques paraissent un peu mélangées, il est difficile de se repérer (c'est une présentation brouillonne sur du papier de mauvaise qualité). Mais peut-être est-ce tout simplement dû encore à l'abondance de "réclames", comme on disait jadis si joliment?!
En résumé, cette revue a, pour moi, peu d'attrait.
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