Les meilleurs avis sur les Presse étrangère

Choix des thèmes sexo
Intéret des articles sexo
Illustrations des articles sexo
Interêt général du magazine
Rapport qualité/prix
Note Générale

La version roumaine de ce classique qui a fêté son centenaire en 1986 est parue en 1999.
Elle a vite conquise le publique féminin grâce à sa présentation luxueuse: papier couché, couverture parée d'une belle femme en posture déterminée, espiègle et élégante. Autour de cette figure éclatant d'énergie et bien-être, un caléidoscope riche en couleurs: la foule des titres osés qui invitaient dans un monde de rêve. Un monde à visiter chaque mois sur environ 80 ou 90 pages.

Le contenu de la rubrique sexo se caractérise, le/la lecteur/lectrice régulière s'en aperçoit sans nul doute, par une cyclicité des thèmes abordés. C'est une astuce autant élégante qu'efficace de livrer l'impression a la nouvelle lectrice qu'elle n'est jamais arrivée trop tard: le moment ou elle choisit de franchir  le monde Cosmo, est toujours le moment parfait.
Le choix des thèmes tente de miroiter les trends et tendances en matière des manifestations de la sexualité. Dans la version roumaine, la rubrique sexo est un sub-chapitre d'une rubrique plus ample "Trai în doi" (La vie à deux).
Les thèmes sont abordés avec le ton colloquial marque "Cosmo" et ils couvrent l'entière palette des expressions de la sexualité: pratiques et techniques (caresses, kamasutra, toys), physiologie et anatomie masculine et féminine (orgasme, masturbation, zones érogènes, etc.), virginité, grossesse, identité sexuelle, clinique et pathologie, aspects socio-culturels (violence, prostitution, paraphilies) et tutti quanti...
Une rubrique consacrée à fournir des reponses aux questions concernant la sexualité adressées par les lectrices est présente également.

Quant au contenu des textes: soit présenté sous forme de cours, divisé en leçons, soit sous forme de sondage, soit sous forme de teste, les lecteurs sont gâtés avec des infos et de charmantes illustrations.

Cosmo, malgré cet effet de cycle scolaire (après 3 ou 4 ans, on passe forcément à autre chose), il reste un des grands classiques de la presse féminine et des "gloss magazines".

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Rapport qualité/prix
Note Générale

FHM Roumanie est paru sur le marché en mai 2000, comme version roumaine du connu magazine masculin (ou, pour l'appeler comme dans son pays d'origine "lads' mag" - magazin pour les mecs) For Him Magazine (comme il fut rebaptisé en1994, après avoir déjà existe comme "For Him" depuis 1985.) Actuellement, FHM est présent sur tous les continents (sauf Amérique Latine), étant publié en 31 éditions dans le monde.
La version roumaine existe encore en format papier, lorsque celle anglaise et celle américaine sont désormais disponibles qu'en version en ligne.

FHM est comme une sortie entre garçons!
Le ton est relax, on rigole (humour malin), on passe des moments de véritable détente en parcourant les pages dont la qualité (typo)graphique séduit et convainc: papier couché (glossy), photos bien réalisées, textes qui amusent et décontractent tout en apportant infos.

Son contenu vise à illustrer la vie et les intérêts des jeunes hommes (tout en cherchant à l'adapter aux réalités des jeunes hommes en Roumanie): boulot (articles des astuces pour s'organiser au travail... afin d'obtenir toujours le congé quand c'est la saison idéale!), vie sociale (rubriques avec les meilleurs bars à fréquenter), thèmes d'actualité (politique, sport, évènements mondains).
Il y a une rubrique mode qui s'amplifie en permanence.
L'incontournable rubrique "voitures".
Les gadgets: pcs, playstations, téléphones et plein d'autres jouets qui fascinent les garçons. Une rubrique "culture": cinéma, musique, livres...
On peut rire pas juste grâce à la page des blagues, mais aussi et surtout grâce aux petites mésaventures des lecteurs,
mais aussi en lisant les resultats des différents sondages proposées occasionnellement par les moultes versions internationales.

Et ce que les gars aiment davantage: les belles filles! Chaque mois, elles sont présentes et présentées comme petite amie, voisine, étudiante, différentes catégories professionnelles (photographe du mois, journaliste du mois, etc.). Une vedette ou plusieurs  y a toujours son très confortable coin...
Bref, les fils d'Adam se peuvent enivrer avec un cocktail de regards troublants, silhouettes satanées et peaux satinées qui se dérobent parfois aux regards à l'aide d'un rien affriolant de voile ou dentelle...
Et chaque année les chouchoutes parmi ces filles sont réunies dans le classement "les 100 plus sexy femmes du monde", qui est établi selon les votes des lecteurs du magazine.

Ce que ce magazine peut vanter c'est sa rubrique sexo, qui était la plus fascinante avant la parution d'autre magazine destine aux messieurs: Mens' Health. En FHM la rubrique avait plusieurs sous-chapitres:
- un grand article traitant un thème concernant la sexualité;
- 2 pages destinées aux questions des lecteurs;
- un autre article traitant des thèmes sur divers aspect de l'histoire culturelle de la sexualité, qui tend à laisser de plus en plus espace à la
- fiche d'un photographe spécialisé en photographie érotique;
- une petite rubrique fournie d'infos et nouveautés sexy.

FHM sera toujours le magazine que l'on devrait remercier pour Grub Smith, qui rédigea la rubrique sexo de la version anglaise et est l'auteur du livre " Real Sex"que j'appelle encore le grimoire d'astuces, même après toutes ces années il ne me semble pas hors date avec ses suggestions.

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Note Générale

A partir du mois de mars 2005, mes compatriotes masculins ont eu un nouveau magazine pour eux: Men's Health  Roumanie. Ce prestigieux  magazine a commencé son aventure en 1987 aux États Unis, sous forme de parution annuelle. Son succès  lui valut des parutions trimestrielles et  même bimensuelles, pour finir par paraitre 10 fois par an à présent. Avec ses 36 éditions distribuées en presque 50 pays, c'est le plus répandu représentant de genre "mode de vie" de la presse masculine.

Men's Health ("MH" pour les intimes ;) ) est un magazine de grande qualité, qui adresse la plupart des aspects qui étayent le mode de vie des messieurs de nos jours: actifs, soucieux de leur santé, de leur vie intime et sociale. C'est un format A4, papier glossy et une couverture qui fait le bonheur des dames: un fils d'Adam à l'allure sculpturelle, la plupart de fois un sportif marquant, mais aussi de modèles moins connus, mais dont la plastique sainement charpenté incarne les principes-phare du magazine.
La pub est présente, mais pas en telle proportion qu'elle distrait du contenu.

Le contenu, lui, est assez riche en diversité comme en substance. On apprend des choses  utiles et parfois surprenantes, mais aussi rassurantes ou inquiétantes. Les informations ont d'habitude du support scientifique et médical, sans glisser dans le langage ésotérique des spécialistes et sans oublier la petite tournure humoristique qui aide à retenir l'information.

Feuilletons un peu MH: la page du contenu et le mot de l'editeur font les maîtres de ceremonie. Entrent:
- rubrique questions des lecteurs;
- nouveautés concernant la santé en divers domaines;
- ample rubrique des "bénéfices" (sex, fitness, nutrition, finances) présentant des astuces, suggestions, tendances pour mieux faire face dans ces domaines;
- rubrique sexo-couple excellente!:)
- voitures et sport
- thème d'actualité
- carrière
- mode
- et jusqu'à la fin du magazine: santé, fitness, nutrition.

Le numéro d'octobre incluait un sondage et un classement à propos du niveau de santé des lecteurs provenant des pays où il existe une édition MH.

Et avant de mettre le point final: MH a aussi existé en version française jusqu'en janvier 2006.
http://www.unhomme.fr/page-al-menshealth.html

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Note Générale

Description générale
Le Cosmopolitan anglais véhicule l'idée selon laquelle il y aurait une "femme Cosmo": battante, active, non resserrée sur ses problèmes, prête à les affronter et à s'en sortir, prête par là même à s'ouvrir aux autres.

Le format A4 n'est pas toujours très commode - en voyage, par exemple. La qualité du papier, et des photographies et dessins, est assez décevante; mais on peut aimer aussi ce gros magazine dans cette formule fourre-tout un peu vieillotte finalement (je l'achète depuis plus de 18 ans (?), et il n'a pas changé!).

Par rapport au magazine français, le ton est très différent: beaucoup plus libéré, beaucoup plus ouvert sur les problèmes courants de la sexualité. Les questions des maladies sexuellement transmissibles sont abordées sans tabou, et permettent aussi de se tenir au courant de ce qui se fait médicalement au R-U; bien que le système médical anglais ne soit guère un modèle, on évite ainsi un centrage sur la France et la réglementation française.

Chacune d'entre nous appréciera, je pense, de lire un magazine où, enfin, on trouve (en petite quantité, certes!) des hommes dénudés (pas complètement, hélas!). Chaque mois, on peut se constituer un calendrier Cosmo, si l'on veut...
[J'ai toujours été frappée de voir que les magazines féminins offrent un grand nombre de photographies de femmes en petite tenue: quand donc comprendra-t-on que les femmes hétérosexuelles n'en ont rien à faire? Et que toutes les lectrices de magazines féminins ne sont pas homosexuelles? Si l'on ne veut pas faire des revues spécialisées, il serait plus simple de mettre des photos de femmes et des photos d'hommes.]

Comme la plupart des revues anglo-saxonnes, Cosmopolitan est orienté vers le vécu et l'expérience des gens ordinaires, mais qui arrivent à s'en sortir, ou qui peuvent présenter un modèle pour désirer, soi-même, s'en sortir: le handicap, la maladie, font l'objet de reportages systématiques. Notamment, la question du cancer est presque toujours abordée, les cancers "féminins" du moins, cancers du sein, de l'utérus, etc. Ce n'est pas le fait d'être guéri qui est traité dans les différents articles, mais l'idée selon laquelle, contre la maladie, il faut "se battre", et s'efforcer de "vivre aussi normalement qu'il est possible".

De même, les articles people sont assez volontiers écrits comme des articles de vie ordinaire: des gens qui ont souffert de telle ou telle chose (on sait évidemment que, matériellement, la désintoxication de tel acteur sera mieux assurée que celle de tel petit délinquant..., mais ici aussi, un modèle est ainsi proposé aux Cosmo girls).

Avis personnel
De manière générale, je ne partage guère cette idéologie de la Cosmo woman, certes (je n'ai pas envie qu'on me présente une idéologie, devrais-je dire). Mais je trouve ce journal très plaisant; pas prétentieux; pas aussi resserré que les féminins français. Y souffle un peu de fraîcheur.
J'y rencontre des informations de temps en temps; les récits d'expérience apprennent toujours quelque chose.
On en profite pour enrichir son vocabulaire! Car les titres sont parfois difficiles à comprendre, surtout lorsqu'on est peu habitué à la presse anglo-saxonne - le corps des articles se lit, en revanche fort bien, quand on a l'habitude du magazine.

Le prix reste très élevé; et si vous n'êtes pas abonné, vous n'êtes pas sûr de le trouver tous les mois, sauf à aller dans un kiosque spécialisé en presse étrangère.

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Rapport qualité/prix
Note Générale

Le Cosmo allemand n'est pas très accessible en France, et je ne l'ai pas beaucoup pratiqué pour cette raison. Mais, comme je me suis décidée à faire un petit tour de la presse étrangère, afin de comparer les différents Cosmos, j'ai eu envie de le lire.

A ma surprise, sa présentation est si vieillote que je n'ai pas remarqué, en achetant le dernier numéro de février, que c'était la même personne qui faisait la une dans le numéro allemand et dans le numéro de février américain!!! Les seins de Katherine Heigl, dans le Cosmo US sont rebondis et soulignés par la lumière et la robe, tandis que dans le Cosmo allemand, ils sont masqués par la sobriété de la couverture.

Au reste, l'article sur Katherine Heigl est sobre, dans le Cosmo allemand, et se réduit à une quinzaine de lignes, tandis que dans le numéro américain, le ton est d'emblée "people", orienté sur les goûts de l'actrice, sa carrière, sa vie sexuelle.

Je ne parlerai cependant, ici, que du Cosmo allemand.

Présentation générale
Peu de photographies, papier de mauvaise qualité, format encombrant, nombre de page réduit, mais peu de publicités.

Le sommaire sera familier aux lecteurs français. Tout est semblable à "notre" Cosmo: rubriques identiques. On trouvera des articles redondants, repris sur la version française; je n'ai pu vérifier (jetant au fur et à mesure les revues), s'il s'agit de reprises mot à mot, ou s'il s'agit seulement du thème général des articles.

Rubriques
"Cosmotalk" est l'occasion de signaler objets ou événements amusants; on y apprend des choses intéressantes; le magazine ne s'interdit pas des mentions historiques.

Une rubrique concerne la culture (musique, film, livres).

De factures diverses et d'intérêts variés, les articles sur le sexe occupent le centre du journal. On trouvera, par exemple, des:
-articles de type reportage, avec un ton objectif très différent du style Cosmo français (où la journaliste parle au contraire en première personne); là, il s'agit de relater des pratiques moins connues, mais "tendance".
-articles de témoignages masculins, correspondant à la rubrique française "nos amis les hommes": le ton est cependant moins familier, comme le titre en témoigne: "Männer" (ce qui n'empêche pas des photos humoristiques, comme celle d'un gorille enlevant une jeune et belle femme - King Kong, je pense...!, à côté de photos des années 1920, style carte postale amoureuse).
-article sur certaines pratiques ésotériques, ou sur des cultures étrangères, mais acclimatées à l'Europe.
-article sur l'amour, la tendresse.
Tout reste soft. Cela n'empêche pas d'avoir de vraies informations, surtout sous la forme "reportage".
Cependant, cette revue n'est pas orientée "sexe".

On a ensuite les rubriques psycho, mode, beauté, santé, voyages, cuisine (intéressante, cette rubrique...), horoscope (avec - innovation! - des biorythmes - c'était la grande mode quand j'avais 15 ans!).

Mon avis
Bien qu'elle soit vieillotte et terne, c'est une revue qu'il n'est pas désagréable de lire. Mais je n'en ferai pas une lecture régulière.

Du point de vue de la langue: on sera surpris de rencontrer quantité d'anglicismes..., comme "life", "easy", etc...
Par contre, l'allemand est nettement moins vulgaire que l'anglais et l'américain des Cosmo US et UK.

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Note Générale

En apparence, le Glamour américain est un peu plus proche du Cosmo américain que du Glamour français; on n'hésite pas à s'aventurer davantage dans la chambre à coucher et à aborder des questions plus dérangeantes.
Mais ce n'est que de surface. La réalité est assez vite moralisatrice. Les articles sont souvent courts, peu documentés, et donneurs de leçons, présentant une sorte de sexualité modèle à laquelle la femme glamour doit parvenir.

Toujours donc le fameux thème des Dos and Don'ts, qui reste le fin mot de ce magazine en tout domaine, y compris dans notre lit!

La santé est aussi un lieu où l'on donne des conseils, à faire, à ne pas faire, et les témoignages sont là pour nous rappeler à la fois le courage des femmes, mais aussi les erreurs qu'elles ont faites.
La question du cancer, et du vivre avec un cancer, est centrale à ce journal, comme au reste dans le Cosmo américain, bien plus sans doute que ne l'est le SIDA, ou d'autres maladies qui touchent particulièrement notre époque.
Comme dans le Glamour anglais, l'automédication est présente à chaque page du magazine, essentiellement sous la forme de publicité.

Celle-ci est omniprésente: le Glamour américain bat tous les records (jusqu'à présent!! Peut-être Arétina va-t-elle le détrôner grâce au Glamour roumain? Les jeux sont faits!).
29 pages de publicité sur le numéro de septembre 2007 avant de parvenir au sommaire. 281 pages de publicités explicites sur 420 pages, soit plus de la moitié du magazine!!!
Par contre, on nous épargne les petites annonces de chiromancie, cartomancie, astrologie, chirurgie esthétique, speed dating, et autres inventions jugées plaisantes à la femme moderne.

Enfin, les rubriques paraissent un peu mélangées, il est difficile de se repérer (c'est une présentation brouillonne sur du papier de mauvaise qualité). Mais peut-être est-ce tout simplement dû encore à l'abondance de "réclames", comme on disait jadis si joliment?!

En résumé, cette revue a, pour moi, peu d'attrait.

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Le Glamour anglais n'offre vraiment guère d'intérêt.

Sur un total de plus de 400 pages (environ 450), petit format, on trouvera 231 pages de publicités (compte fait pour le numéro d'octobre 2007), soit la moitié de pages consacrées officiellement à la publicité; sans compter les pages qui officieusement vantent un produit de marque (soit les pages mode, ou les pages pour les produits de beauté); avant de lire le sommaire, il faudra passer par 13 pages de pub, et pour finir, il faudra supporter des petites annonces dans le style: cliniques de chirurgie esthétique, cartomanciennes, et love-rencontres.

Un grand nombre d'articles sont repris des Glamour américain ou français. Par exemple, toujours pour le numéro d'octobre 2007, on retrouve, p. 217-224, l'interview de Christine Bakke, qui a entamé une cure pour ne plus être gay (interview paru, cet été, en France); et, p. 109-114, on retrouve l'interview de la gynécologue Hilda Hutcherson, parue en septembre (p. 382-386) dans le Glamour américain.

Sinon, le principe général du magazine repose, comme pour le Glamour français, sur le people, le glamourama (ici, les rubriques sont non pas "glamour"/"pas glamour", mais "Dos and Don'ts"), et l'expérience vécue.
Beaucoup de témoignages liés aux maladies (cancers du sein, de la peau, etc.); et souci propre au monde anglo-saxon: le magazine est très orienté par l'automédication.

C'est un mauvais journal, et qui coûte cher.

Je ne vous le conseille pas, sauf si vous aimez la publicité.
(Mais si c'est cela que vous aimez, vous en trouverez, gratuitement distribuée, dans votre boîte aux lettres.)

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Voilà, le cosmo anglais, c'est vraiment LE meilleur magazine féminin.
Uns fois qu'on y a goûté, on continue de lire la version française pour passer le temps, mais le réel magazine intéressant, c'est celui-là.
Certes, il faut parler - au tout du moins lire - l'anglais.
Mais d'un côté c'est aussi une manière fort sympathique d'améliorer son niveau en langues étrangères que de lire des articles qui nous intéressent :)

Le cosmo UK est assez cher ( un peu plus de 5€ ) et on ne le trouve pas dans tous les kiosques. Cela dit l'achat en vaut la peine car c'est un magazine très épais ( 230 pages environ) avec beaucoup d'articles, et en plus vous êtes en avance sur les français pour les trucs tendances ( "desperate housewives", on l'a regardé 6 mois avant qu'on commence à en entendre parler en France suite à un article qui en parlait ^^ ).

Il y a beaucoup d'articles sur la sexualité, et cette fois le ton est beaucoup plus "libéré" que dans sa version frnaçaise (parfois même je ne comprends pas certains termes, que l'on ne m'aurait jamais appris à l'école) : explications sur les positions, préliminaires détaillés, sextoys, témoignages ... Il n'y a pas cette pudeur des magazines français qui essayent de parler sexualité sans vouloir entrer dans les détails.
Une sexologue répond chaque mois aux interrogations de lectrices et d'un lecteur, sur des problèmes type "mon copain refuse de me faire des cunnis", "je n'arrive pas à jouir sans penser à mon ex", etc

Il y a aussi beaucoup d'articles sur la vie de couple et l'Amouuuuuuur (normal, c'est un magazine pour les filles)

Et, cerise sur le gâteau, chaque mois on a le droit à une belle photo d'un apollon nu :)
eh eh, nous aussi on a le droit de se rincer l'oeil

Pour le reste du magazine, des conseils beauté, des photoshoots de mode, mais surtout beaucoup d'articles de témoignages de femmes qui ont surmonté une épreuve difficile (viol, cancer, etc) : on pourrait trouver ça déprimant, mais à chaque fois la personne s'est battue pour s'en sortir et l'article est au final optimiste, et incite à relativiser nos petits tracas, à profiter de la vie et à être une battante.

Il y a également des articles de plusieurs pages sur des sujets de société, et dans chaque numéro, au moins un article traitant des problèmes gynécologiques ( les symptomes qui doivent nous alerter que "quelque chose" ne va pas, etc )

La devise du magazine, c'est "for fun fearless females", ça me correspond bien !